- Négociation sur la rémunération, le temps de
travail et le partage de la valeur ajoutée
• Les salaires Effectifs :
La CFDT a été la seule organisation syndicale à faire la demande
d’ouverture de négociation sur la Prime de pouvoir d’achat dit
« Macron »
Prime exceptionnelle de fin d’année d’un montant de 1500 €.
Enveloppe de 2,5% de la masse salariale:
-2,2% d’augmentation pour tous les salariés correspondant
au maintien du pouvoir d’achat 2019 & 2020.
-0,3% de la masse salariale pour le rattrapage du pouvoir
d’achat des salariés n’ayant pas bénéficié d’augmentation de
salaire depuis 3 ans ou ayant bénéficié d’une augmentation
inférieur à 1%.
- Négociation sur la rémunération, le temps de
travail et le partage de la valeur ajoutée
Enveloppe de 2% de la masse salariale liée aux résultats de
l’entreprise :
-2% d’augmentation minimum pour les ETAM
-1% d’augmentation minimum pour ces Cadres.
Enveloppe de 1% de la masse salariale pour rétablir l’égalité de
rémunération femmes/hommes.
Enveloppe supplémentaire de 1% au mérite, promotions &
mobilité
La CFDT rappelle que les personnes de +50 ans ne doivent pas
se voir reprocher leur ancienneté et leur salaire, pour justifier
d’une non augmentation.
- Négociation sur la rémunération, le temps de
travail et le partage de la valeur ajoutée
La CFDT demande la suppression du critère sécurité dans les
variables. Ce critère est non atteignable par définition pour la
majorité des salariés et n’a vocation qu’à permettre à SPIE de ne
pas rémunérer à 100% le personnel.
Paiement à 100% des variables pour les personnels n’ayant pas
signé leurs objectifs en début d’année (L 1222-1 du Code du
travail et Cass. Soc. 10 juill. 2013 n° 12-17921).
- Négociation sur la rémunération, le temps de
travail et le partage de la valeur ajoutée
La CFDT demande que l’entreprise applique l’augmentation des
minimas conventionnels Syntec au 1er Janvier 2020 même si la
procédure d’extension de l’accord n’est pas encore effective.
Revalorisations des Astreintes alignées sur SPIE ICS
- Négociation sur la rémunération, le temps de
travail et le partage de la valeur ajoutée
• La durée effective et l’organisation du temps de travail :
La CFDT rappelle que l’accord de temps de travail est un accord
de flexibilité. Que par défaut le temps de travail est de 36h40 par
semaine.
La CFDT demande l’application stricte de l’accord SPIE
Infoservices sur le temps de travail. Les inégalités constatées sur
tous les sites client soient toutes supprimées faute de quoi, la
CFDT se donnera tous les moyens légaux pour faire appliquer
l’accord d’entreprise sur le temps de travail.
- Négociation sur la rémunération, le temps de
travail et le partage de la valeur ajoutée
• La CFDT demande la revalorisation des frais de subvention
repas (Ticket restaurant) , afin de s’aligner sur le plafond
autorisé par l’Urssaf : 5,58€ part employeur au 1er Janvier 2020
avec une valeur faciale à 9,30 €
• Comme pour 2019, la CFDT demande que l’ensemble du
personnel puisse rematérialiser ses tickets restaurants.
• Possibilité pour les salariés de choisir entre les tickets et la
carte Ticket restaurant.
- Revalorisation de la prime médaille du travail
- Médaille 20 ans : 400 €
- Médaille 30 ans : 600 €
- Médaille 40 ans : 900 €
- Médaille 45 ans : 1100 €
-Mise en place d’une prime dite « fidélité » de 200 € pour les
personnes ayant au moins 5ans d’ancienneté tous les 5ans.
- L’articulation entre la vie personnelle
et la vie professionnelle pour les salariés
• La CFDT demande que soit interdit de manière claire, dans le
règlement intérieur, les réunions en dehors des plages
standards de travail.
Les réunions ne doivent plus avoir lieu sur le temps du déjeuner
ou après 18h00.
- Formation
Le budget formation 2019 n’a été utilisé qu’à 73% de sa valeur.
Compte tenu des chiffres éloquents depuis 3 ans, la CFDT
demande que le plan de formation 2020 soit revu.
Les femmes sont toujours discriminées, celles-ci ont moins
d’heures de formation allouées que leurs homologues hommes.
La CFDT demande que le plan de formation 2020 soit rééquilibré.
Que ces formations soient effectives et non théoriques et que le
budget 2020 soit dépensé dans sa totalité ainsi que le reliquat du
budget 2019.
- L’égalité entre les hommes et les
femmes :
L’article L3141-9 prévoit qu’une femme salariée peut bénéficier de
2 jours de congé supplémentaire par enfant à charge de moins de
15 ans, sans que cela excède la durée maximale de congés
annuels.
En conséquence ce texte s’applique à toute personne ayant des
enfants de moins de 15 ans,
- Arrivée en cours d’année et n’ayant pas la totalité de leurs nombres de
jours de congés - Ayant pris un congé sabbatique
- De retour de longue maladie
La CFDT demande l’application automatique de cet article, sans
qu’il soit nécessaire une action manuelle d’une salariée.
La CFDT demande qu’une communication soit faite aux salariées
et managers.
- L’équilibre entre la vie en famille et en
entreprise
La CFDT demande que la loi du 23 janvier 2017 soit appliquée :
Les chargés de recrutement doivent suivre une formation
obligatoire, à la non-discrimination.
La CFDT demande la mise en place du droit à la déconnexion.
Exception faite du personnel soumis à astreinte, des membres du
CODIR et des IRP, nous demandons que les serveurs Active
Directory/Exchange rejettent l’ouverture de session à partir de
21h00, jusque 7h00 du matin et qu’un message accompagne la
signature de tous les salariés expliquant notre politique de droit à
la déconnexion.
La CFDT demande l’augmentation de l’indemnité de télétravail à
3 € par jour
- Les transports
La CFDT demande la prise en charge de l’abonnement transport
en commun à hauteur de 75% (au lieu des 50% existant)
La CFDT demande la prise en charge d’un abonnement « vélo en
libre-service » à hauteur de 75 % et mis en place d’indemnité
kilométrique dans le cadre de la RSE.
La CFDT demande une prime de 100 € net pour les salariés sans
voiture de société et sans abonnement transport.
- Les transports
La CFDT demande une prime de 150 € net pour les salariés
utilisant des véhicules électrique ou GPL.
La CFDT demande une prime de 200 € net pour les salariés
utilisant les plateforme de covoiturage annuel.
La CFDT demande que le barème des indemnités kilométrique
2020 soit appliqué.
- La journée de solidarité
Compte tenu des abus dénoncés en comité social et économique
, la CFDT demande que la journée de solidarité soit étalée sur 90
jours, à raison de 5 minutes de travail en plus par jours, non
rémunérés.
En aucun cas des salariés ne doivent se voir imposer de prendre
des jours de congés payés pour compenser la journée de
solidarité.
- Négociations 2020
La CFDT demande l’application strict des accords précédemment
signés.
La CFDT demande l’ouverture de négociation sur un accord
télétravail.
La CFDT demande l’ouverture de négociation sur un accord TSH.
- Budgets CSE
La CFDT demande Budget des œuvres sociales 1%
